Voili, voilà ! Ce n’est pas sans une certaine fierté que je partage avec vous les premières lignes d’un article qui fait de moi une serial blogueuse heureuse.
Paru dans l’édition print et numérique de Direct Matin Bordeaux 7 du vendredi 27 janvier 2017, je vous laisse le découvrir en cliquant sur la photo ci-dessous.
Ma bio de serial blogueuse des Chartrons signée Marie Blanchard
Un chouette portrait, tant photographique qu’écrit, signé Marie Blanchard, journaliste férue de photo, Ch’tie et fière de l’être, venue tout droit de Paris pour faire ses classes, riche d’une belle expérience à (excusez du peu) France 2, France Inter et Canal +
Bordelaise depuis maintenant plusieurs années, toujours par le biais des mots, elle a vite pris le pouls de l’ex-belle endormie en s’intéressant de près à la vie qui règne dans ses quartiers. Ce qu’elle va pouvoir faire désormais à fond les ballons, puisqu’avec la rubrique de Bordeaux7, En’vie de Quartier, créée en mars 2016, elle inaugure une nouvelle collaboration professionnelle que je lui souhaite longue et fructueuse.
Je suis très heureuse d’avoir ouvert le bal de cette incursion, de ces visites guidées géolocalisées qui ont commencé pour elle, avec mon quartier d’adoption, les Chartrons… my place to be depuis plus de 30 ans 🙂
Appelez moi Batwoman !
D’autre part, puisque Marie l’a évoqué, j’en profite pour faire d’une pierre deux coups. Faire ce que je n’ai pas eu le temps, à savoir partager avec vous l’article de Sud Ouest, illustré sur mon site par la top photo d’Ugo Amez, qui, le 20 décembre dernier, a su capter cet instant fugace où, investie de mon rôle de marraine de l’Avocette, le 3ème Bat3 (dont le nom évoque cet oiseau proche des échasses au bec assez long et courbé vers le haut), j’ai (une fois n’est pas de mise, puisque d’habitude je les bois) pulvérisé une bouteille de champagne.
Une coutume comme l’exige une vieille superstition marine, que ce proverbe anglais explique mieux qu’un dessin :
« Un navire qui n’a pas goûté au vin goûtera au sang »
Les deux bateaux précédents n’ont pas été baptisés. Or s’ils n’ont essuyé ni tempêtes, ni naufrages (et c’est tant mieux !), ils ont connu moultes avaries.
J’espère humblement que je porterai chance à la navette fluviale, l’Avocette, ce mode de transport, alternative à la voiture qu’aux habitants ou touristes, travailleurs ou flâneurs, amoureux de la Garonne ou amateurs d’évasion, je recommande à tout le monde.
En effet, d’une rive à l’autre, vue du milieu de l’eau, pour le prix d’un ticket de bus ou de tram, Bordeaux, l’ex-endormie est encore plus belle et vous donne des sensations de Venise.
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