Lecteur/rice mon ami(e), si tu veux voir un film peuplé de super héros j’ai ce qu’il te faut !
Après Demain et En quête de sens (que perso j’ai vu 2 fois), idéal pour se booster le moral, parfait pour se convaincre que partout des solutions existent et incontournable pour monter le curseur d’un optimisme collectif des plus sinistrés… à la play list des documentaires essentiels pour changer le monde, on pourra désormais rajouter On the Green Road.
Découvert le 5 avril 2015 à La Ruche, un espace de travail collaboratif dédié à l’innovation sociale qui le diffusait après avoir transformé son plateau en salle de ciné, je n’ai eu qu’une envie, vous en parler. Une soirée toute particulière puisque c’est dans ce même lieu que s’était déroulée la première projection quelques mois plus tôt, alors que le film n’en était encore qu’au stade d’ébauche et pour lequel j’avais déjà commis, sur Jugeote, le webzine qui en a, un article qui explique tout.
Pour l’heure, pas de DVD (Siméon et Alexandre réfléchissent à un mode de diffusion en open source), juste un trailer que voici :
« Une aventure déconcertante, faite de beaux moments, de galères, de rencontres marquantes, de réflexions profondes et de paysages splendides ».
18 000 kilomètres, 26 pays, de l’Asie à l’Amérique latine en passant par l’Europe et le Moyen Orient, faire prendre conscience des urgences écologique à travers le monde, tel est le fil conducteur du périple à vélo de Siméon Baldit de Barral et Alexandre Haslé de Barral, les deux cousins originaires d’Angers, partis à la rencontre de ceux qui, dans les pays émergents, œuvrent pour enrayer le réchauffement climatique et les comportements qui ruinent la planète, empoisonnent déjà notre présent et hypothèquent notre avenir.
Un choc visuel et beaucoup d’émotions de voir et d’entendre les témoignages de ces courageux du quotidien, ces humbles qui font leur part (et qui plus est le sourire aux lèvres), grâce auxquels on mesure l’étendue des dégâts qui les frappent au quotidien : pollution de l’eau, déforestation massive, érosion des sols, sécheresse, dépendance des petits paysans face aux géants de l’agro alimentaire… Et leurs solutions, comme leurs actions…
Bravo à tous et merci à Siméon d’être venu de Paris nous en parler. Merci pour la soirée qui s’en est suivie Chez Le Pépère et merci pour ce moment d’échange et cette discussion à bâtons rompus qui aura assurément une suite, tant sur les écrans que sous forme d’événements, le tout en mode collaboratif.
En effet, pour tous ceux qui voudraient découvrir ce documentaire épatant à Bordeaux, une projection est dans les tuyaux aux alentours du mois de juillet à Darwin et éventuellement à l’Utopia.
Si vous êtes intéressés pour en organiser une dans les environs, n’hésitez pas à vous manifester en MP sur leur page facebook https://www.facebook.com/OnTheGreenRoad/?fref=ts vous enrichirez le planning de leur programmation. Pour info, entre Antony et Lilles, le film sera diffusé le 18 avril, à Bruxelles, au Parlement Européen.
Savoir que pour Siméon et Alexandre, toucher tous les publics est essentiel, particulièrement pour Siméon qui a passé un an et demi dans un foyer et qui fait le maximum pour sensibiliser à l’écologie les jeunes des quartiers difficiles.
Enfin pour vous mettre l’eau à la bouche et en conclusion, une vidéo, celle de l’interview d’Alexandre par Le grand Monde.
@ très bientôt les cousins !
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